A l'écoute de la chanson « More », certains auront des impressions de couleurs printanières à la Vampire Weekend, de mondes romancés par Phoenix ou revisités par M83. D'autres découvriront un chant qui en appelle au sens de la célébration, et surtout, une prog'-pop indie qu'on pourrait paradoxalement qualifier de primitive.
Aymé, ce doux rêveur qui a fait de la musique dans sa jeunesse, puis des études de cinéma, pour finalement revenir à ses premières amours, correspond aujourd'hui à la définition du geek.
Restez calmes : car après tout, qu'est-ce qu'un geek ? En bas-allemand, c'est un espiègle, en néerlandais, un trublion, et en patois du nord de la France, un fou de carnaval. De nos jours, c'est quelqu'un qui s'enthousiasme sans réserve quant aux cultures de l'imaginaire et aux objets qui permettent de les explorer. Là est la clef.
« More » est l'un des objets fabriqués, le premier d'une longue série qui vous mènera de visions néo-hippies en formules mathématiques manufacturées, en commençant par un concert le 8 juin à La Flèche d'Or.
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